Logiciels de caisse : l’autocertification, c’est fini

Un encadrement renforcé
Un nouveau cadre réglementaire s’impose. Êtes-vous en conformité ?
Depuis 2018, les entreprises assujetties à la TVA utilisant un logiciel de caisse doivent garantir :
✔️ Inaltérabilité
✔️ Sécurisation
✔️ Conservation
✔️ Archivage des données
📌 Sous peine de sanctions en cas de contrôle.
Fin de l’autocertification
Jusqu’à présent, les éditeurs pouvaient :
✔️ Fournir un certificat d’un organisme agréé
ou
✔️ S’autocertifier eux-mêmes via une attestation
➡️ Un système critiqué car certains éditeurs validaient des attestations sans réelle vérification, mettant en danger les entreprises utilisatrices.
Ce que dit la loi de finances 2025
📅 La possibilité d’autocertification est supprimée.
➡️ Les logiciels devront désormais disposer d’un certificat délivré par un tiers agréé
(ex. : Infocert ou LNE).
⏳ Un délai d’adaptation est accordé jusqu’au 31 août 2025 pour engager une demande de certification.
Les entreprises pouvaient encore présenter une attestation d’autocertification en cas de contrôle jusqu’au 31 Août 2025.
📌 Mais depuis le 1er Septembre 2025, le certificat tiers est obligatoire.
Quelles actions pour les entreprises ?
🔍 Se rapprocher de leur éditeur pour connaître sa politique de certification.
💡 Envisager un changement d’outil si la solution actuelle n’est pas maintenue ou ne sera pas certifiée.
Et après ? La facturation électronique
Ce changement s’inscrit dans un contexte
plus large :
📅 À partir de septembre 2026, les entreprises devront également être prêtes pour :
✔️ La facturation électronique
✔️ Le e-reporting
Nos juristes vous accompagnent : aleblic@qwantaexperts.fr